Le nombre annuel de voyages effectués en transport en commun en France.
La part des émissions mondiales de CO2 dues aux transports.
Le nombre de passagers transportés par la SNCF en 2020.
Le temps moyen d'attente des transports en commun en France est plus proche de 20 minutes.
Citymapper reste un incontournable dans les grandes agglomérations : appli complète, elle propose des itinéraires optimisés pour combiner différents moyens de transport publics, notamment bus, métro, vélo en libre-service et même marche à pied. La petite touche sympa : elle estime précisément le temps que tu vas passer dans chaque transport pour rendre ton trajet fluide.
Transit, de son côté, mise sur un suivi en temps réel hyper précis, détaillant même le taux de remplissage des véhicules pour que tu puisses choisir une rame ou un bus moins bondé. Vraiment très pratique aux heures de pointe.
Pour les déplacements en train, Trainline tire son épingle du jeu : non seulement elle propose des billets électroniques à prix réduit, mais elle possède aussi une excellente intégration des réseaux régionaux écologiques.
Impossible aussi d'ignorer Moovit, réputée pour sa couverture quasi mondiale des transports locaux. Son vrai plus : les alertes communautaires en temps réel sur les incidents ou retards, fournies par d'autres voyageurs.
Et pour les cyclistes, Géovélo se positionne en tête avec ses itinéraires "vélo-compatibles". L'appli prend en compte pistes cyclables, sécurité du trajet ainsi que possibilité de combiner vélo et transports publics comme le train ou le tram.
Enfin, Navitia – moins connue que d'autres – mérite clairement l'attention grâce à son API ouverte qui croise une tonne de sources de données différentes. Elle est particulièrement prisée par ceux qui veulent anticiper au mieux leur trajet avec un maximum de précision.
Une appli intéressante doit impérativement te proposer des itinéraires multimodaux précis : tram, métro, vélo en libre-service, voire trottinettes électriques en option. Pas seulement le trajet le plus rapide, mais aussi celui qui génère moins d'émissions carbone, précisé en grammes de CO₂ économisés comparé à un trajet voiture identique.
Pense à rechercher des alertes personnalisées en cas de perturbations ou retards, par notifications push en temps réel, c'est hyper pratique pour éviter de perdre ton temps en station.
Quelques bonnes applis intègrent même une estimation du taux de remplissage en heure de pointe, permettant de choisir un bus ou une rame moins saturé — utile pour ceux qui veulent respirer un peu.
La possibilité d'enregistrer des trajets quotidiens récurrents, comme domicile-boulot, fait partie des fonctions incontournables : tu n'as alors plus qu'à ouvrir l'appli et vérifier en un coup d'œil l'état de ton trajet habituel.
Vérifie aussi que l'appli indique clairement la disponibilité des infrastructures vélo (stationnements sécurisés, pistes cyclables dédiées près de la station concernée), histoire d'assurer tes correspondances vélo-transports publics sans stress ni surprises.
Cerise sur le gâteau, certaines applications visent aussi à gamifier tes déplacements : collecter des récompenses ou des points bonus quand tu optes pour une mobilité plus verte peut rendre tes trajets quotidiens un peu plus fun.
Si tu veux réduire efficacement ton empreinte carbone lors de tes trajets urbains, opter pour des bus électriques ou hybrides est une excellente stratégie.
Concrètement, le bus électrique consomme environ 75 à 85% d'énergie en moins qu'un bus diesel classique. Ça signifie moins de polluants nocifs rejetés dans ta ville, comme les particules fines, l'oxyde d'azote (NOx) ou encore les gaz à effet de serre. Surtout utile quand on sait que le transport routier représente près de 20% des émissions de CO₂ de l'Union Européenne.
Les modèles hybrides combinent moteur électrique et thermique, optimisant ainsi leur fonctionnement en ville. Grâce au freinage régénératif (quand le véhicule récupère l'énergie cinétique pour recharger la batterie en freinant), ils réussissent à économiser jusqu'à 30 à 40% de carburant par rapport aux bus classiques.
À titre d'exemple, Paris vise à remplacer la totalité de sa flotte diesel par des bus électriques ou à énergies propres d'ici 2025. Lille, quant à elle, s'équipe progressivement avec des modèles hybrides innovants, réduisant déjà notablement ses émissions polluantes depuis plusieurs années.
Petite astuce bonus : des applications comme Moovit permettent souvent d'identifier rapidement les lignes équipées exclusivement de bus électriques ou hybrides dans ta ville. Ça vaut vraiment le coup d'y jeter un coup d'œil pour organiser tes trajets quotidiens en mode plus vert.
Le tramway produit environ 3 fois moins de CO2 qu'un bus diesel classique. En France, la majorité du réseau fonctionne grâce à une électricité issue principalement de sources renouvelables et nucléaire, ce qui le rend particulièrement propre à l'usage.
Les nouvelles rames de tram, comme celles déployées à Nice ou Bordeaux, sont conçues en matériaux plus légers qui augmentent leur efficacité énergétique : moins de poids signifie une meilleure efficacité et moins de consommation électrique. Résultat : tu prends un moyen de transport silencieux, confortable, mais aussi bien plus respectueux de la planète.
Du côté du métro, les lignes automatisées comme la ligne 14 à Paris consomment jusqu'à 15% de moins d'énergie par kilomètre et par passager, surtout grâce à leur conduite ultra régulière et optimisée. De nombreuses villes (Rennes, Toulouse, Lille) ont suivi ce modèle et réduit de manière significative leur consommation en énergie. Bonus sympa : certains métros comme celui de Stockholm redistribuent même l'énergie du freinage vers le réseau, limitant encore un peu plus le gaspillage.
Bref, choisir métro ou tram, c'est miser sur des déplacements sobres, doux pour ton empreinte carbone, et qui soutiennent le développement durable de ta ville.
Les TER (Trains Express Régionaux) et les Intercités deviennent un vrai levier écologique lorsqu'ils roulent avec une énergie renouvelable. Certaines régions françaises ont déjà basculé vers une alimentation électrique entièrement verte pour leurs lignes TER : la région Auvergne-Rhône-Alpes, par exemple, utilise depuis 2021 uniquement de l'électricité issue de sources renouvelables pour ses trains régionaux. Résultat ? Une réduction importante de l'empreinte carbone pour les passagers réguliers : en moyenne 30 grammes de CO2 par kilomètre parcouru, bien inférieur aux voitures thermiques (autour de 120-150 grammes/km).
Du côté des trains interurbains longue distance, les Intercités remplacent progressivement les anciennes motrices diesel qui consomment plus et polluent davantage. Exemple concrets : les nouveaux trains Coradia Liner mis en service sur la ligne Paris-Clermont-Ferrand permettent un gain d'environ 20% sur la consommation énergétique du trajet. SNCF multiplie aussi l'usage des biocarburants sur les lignes non électrifiées, comme celle reliant Paris à Granville. Autre avancée sympa, les trains régionaux comme les TER Regio 2N de Bombardier adoptent progressivement l'éco-conduite automatisée pour économiser davantage d'énergie à chaque trajet.
Niveau confort, ces nouveaux trains verts n'ont pas grand-chose à envier aux anciens : wifi, prises électriques individuelles et espaces vélos pratiques pour ceux qui combinent plusieurs types de mobilité écologique dans leur trajet. Voyager en limitant son impact écologique devient donc plus simple, à condition de savoir identifier ces lignes équipées des technologies les plus respectueuses de l'environnement.
Astuces | Description | Bénéfices |
---|---|---|
Utiliser des applications de mobilités | Des applications comme Citymapper ou Moovit fournissent des itinéraires optimisés en combinant différents modes de transport public. | Gain de temps et réduction de l'empreinte carbone. |
Vérifier les horaires en temps réel | Les applications de transport ou les sites web des opérateurs affichent les horaires actualisés pour éviter les longs temps d'attente. | Diminution du temps perdu et amélioration de la ponctualité. |
Choisir des abonnements adaptés | S'abonner à des services de transport en fonction de la fréquence des déplacements peut offrir des avantages tarifaires. | Économies financières et incitation à l'utilisation des transports en commun. |
Privilégier les transports à faible émission | Opter pour des options comme les bus électriques, trams ou trains alimentés par des énergies renouvelables. | Réduction de l'impact environnemental des déplacements. |
Pour avoir des infos vraiment fiables, le mieux c'est d'aller direct sur les sites officiels des réseaux de transport public des villes ou régions où tu voyages. Des plateformes comme Transilien.com pour l'Île-de-France ou TER.sncf.com pour les trajets régionaux disposent souvent du détail en temps réel des perturbations et horaires précis. Le site ratp.fr est top pour Paris : infos mises à jour en continu, plans interactifs et prévisions trafic complètes. Même logique dans les autres grandes villes : à Lyon, va jeter un œil sur tcl.fr, à Marseille sur rtm.fr, ou à Bordeaux sur infotbm.com. N'oublie pas parfois de passer par les applis mobiles officielles, elles proposent souvent une ergonomie plus pratique que les sites web traditionnels. Ces plateformes te proposent aussi des indications super pratiques sur les temps d'attente estimés et les alternatives en cas de galère (travaux, panne, manifs, etc.). Petite astuce : certains sites officiels proposent de créer des alertes personnalisées en fonction des trajets réguliers que tu fais, ça évite les mauvaises surprises.
Même avec les meilleures applis du monde, prévoir une petite marge de sécurité reste essentiel—et pas seulement pour éviter de courir après le bus comme un marathonien ! Par exemple, selon la RATP, jusqu'à 20% des trajets parisiens peuvent être perturbés chaque mois par des retards mineurs ou incidents inattendus. Si ton trajet dure habituellement 30 minutes, ajoute 5 à 10 minutes pour être tranquille. Ça permet d'éviter le stress et aussi de rester à l'abri d'un imprévu du genre une correspondance manquée ou un souci technique sur une rame de tramway. Et puis, à titre concret, un rapport récent indiquait que les retards accumulés dans les transports publics faisant rater des rendez-vous coûtaient en moyenne près de 8 heures perdues par an aux usagers réguliers. Donc, anticiper une marge, c'est aussi récupérer une partie précieuse de ton temps libre !
La part des déplacements effectués en transport en commun dans les grandes villes européennes.
Mise en service du premier tramway urbain à traction hippomobile à New York, marquant le début du transport collectif urbain.
Inauguration du métro de Londres, le premier métro souterrain au monde, révolutionnant les déplacements urbains.
Premier tramway électrique mis en service à Berlin, donnant naissance à des transports urbains plus propres et sans chevaux.
Création de la première voie réservée aux autobus à Paris, initiant une gestion plus efficace et moins polluante des déplacements en bus.
Lancement du Vélib’ à Paris, démocratisant en France le vélo en libre-service pour compléter les transports publics traditionnels.
Déploiement à Shenzhen (Chine) de la flotte pilote d'autobus entièrement électriques, ouvrant la voie à une mobilité urbaine plus écologique.
Accord de Paris durant la COP21, amplifiant les engagements internationaux vers une mobilité urbaine à faible empreinte carbone.
Luxembourg devient le premier pays européen à annoncer les transports publics gratuits à l'échelle nationale, effectifs dès l'année suivante.
Gratuité effective des transports publics au Luxembourg, exemple inspirant pour une mobilité verte et accessible à tous.
Le plus fiable pour trouver facilement des trajets directs, c'est d'utiliser une appli spécialisée comme Citymapper, Transit, ou encore Moovit. Ces applications proposent un filtre "zéro correspondance", hyper pratique quand tu n’as pas envie de changer trois fois de bus ou de tram.
Pense aussi toujours à regarder le réseau des lignes express et structurantes de ta ville : ce sont souvent des lignes prioritaires, rapides et avec fréquence élevée, spécialement conçues pour éviter de multiplier les transferts. Les transports urbains mettent généralement à disposition un plan spécifique, que tu peux récupérer en PDF sur leur site officiel ou directement à ta station.
Si ton quotidien inclut un trajet habituel, prends un peu de temps pour explorer les horaires et lignes moins évidentes : certaines liaisons directes existent, mais passent seulement deux ou trois fois par heure. Un peu moins pratique côté fréquence, mais idéal si ça t'évite les correspondances. Le mieux est de télécharger le plan complet du réseau en PDF sur ton smartphone, puis de vérifier manuellement les connexions à proximité de ton départ et ton arrivée.
Enfin, renseigne-toi aussi sur les lignes de bus régionales ou interurbaines : elles sont souvent directes et moins connues. Résultat : tu simplifies tes trajets sans forcément passer par les axes principaux saturés.
Étudie le tracé global des lignes: parfois mieux vaut marcher 5 minutes de plus pour attraper une ligne directe que d'attendre 15 minutes une correspondance. Repère les stations principales, elles regroupent souvent plusieurs lignes utiles sans devoir changer plusieurs fois. Vérifie les horaires des bus ou tramways express, ils sont pensés pour limiter les arrêts intermédiaires et éviter les transferts inutiles. Anticipe tes trajets avec des apps comme Citymapper, Moovit ou Transit, en sélectionnant des critères comme "moins de correspondances possibles". Pense à repérer les réseaux avec des lignes circulaires ou transversales afin de ne pas systématiquement devoir passer par le centre-ville ou les pôles de transfert. Quand t'identifies une ligne qui correspond exactement à ton quotidien, choisis ton logement ou ton lieu de travail en conséquence si c'est possible. Un trajet quotidien avec peu ou pas de correspondances représente statistiquement un gain de temps de jusqu'à 40 % comparé aux déplacements avec multiples changements chaque jour. Enfin, vérifie régulièrement l'évolution du réseau local pour adapter tes trajets immédiatement quand de nouvelles lignes directes apparaissent.
Le saviez-vous ?
Les vélos en libre-service permettent souvent de parcourir gratuitement les trente premières minutes, idéal pour rejoindre rapidement une correspondance de transport public sans frais supplémentaires.
Une rame de métro transporte en moyenne autant de passagers que 800 voitures, contribuant significativement à la réduction des embouteillages et de la pollution urbaine.
Selon l'ADEME, utiliser les transports en commun permet de diminuer en moyenne de 80 % son empreinte carbone quotidienne par rapport à la voiture individuelle.
Voyager hors des heures de pointe ne permet pas seulement d'éviter les foules; cela aide aussi les opérateurs à réguler la fréquence des véhicules, rendant ainsi leur consommation énergétique plus efficace.
Si tu combines un vélo en libre-service avec ton trajet en tram, métro ou bus, tu peux gagner en confort et en rapidité. Sur les applis comme Citymapper ou l'appli officielle Vélib' à Paris, tu peux visualiser directement les stations proches avec le nombre de vélos disponibles en temps réel. Petite astuce : repère avant le trajet les stations de vélos en libre-service à ta sortie du métro ou du tram pour éviter une perte de temps inutile une fois arrivé. Certains services, comme Vélib', proposent même des abonnements intégrés avec ton pass transports publics (comme Navigo), c'est hyper pratique parce que tu payes moins cher et tu gagnes du temps sur l'inscription et l'accès au vélo. Pense aussi à activer la géolocalisation sur ton appli, elle te donnera automatiquement la meilleure suggestion de trajet combiné possible, incluant bus/métro + vélo, avec le temps exact nécessaire et le coût. Enfin, retiens bien ceci : dans la plupart des grandes villes, les 30 premières minutes avec un vélo en libre-service coûtent quasiment rien (voire zéro avec certains abonnements). Donc, choisis bien un point de départ stratégique près des arrêts de transports publics pour optimiser tes déplacements tout en économisant de l'argent.
De plus en plus de municipalités développent des espaces sécurisés pour cyclistes directement aux abords des stations : par exemple, la gare de Grenoble propose une grande vélostation surveillée accessible 24h/24 où tu peux laisser ton vélo en toute confiance. Des villes comme Strasbourg ou Nantes misent aussi sur des consignes à vélos intelligentes : tu poses ton vélo, tu verrouilles avec ton badge ou ton smartphone, et c'est parti pour ton trajet en tram ou en bus. Pratique et rapide.
Tu peux également trouver des stations qui te fournissent des petits services utiles, comme du matériel de réparation basique (gonfleurs à disposition, bornes d'outils gratuites) près des points stratégiques, histoire de gérer les imprévus du quotidien sans prises de tête.
Pour être encore plus pratique, certaines agglomérations proposent des plans interactifs sur leurs sites web officiels : tu repères directement les aménagements prévus pour les cyclistes avant même de sortir de chez toi. Certaines villes expérimentent même le stationnement vélo connecté où une appli locale t'indique en temps réel les places disponibles. Un gain de temps évident et moins de stress pour garer ton biclou.
Le nombre de voyages effectués en métro dans le monde chaque année.
L'augmentation de la fréquentation des vélos en libre-service en France entre 2019 et 2020.
Le nombre de déplacements réalisés chaque année en bus en Île-de-France.
Le nombre de voyages effectués en tramway en France en 2020.
Le coût annuel des embouteillages pour la France.
Astuce | Description | Impact Écologique | Exemple |
---|---|---|---|
Utilisation d'applications mobiles | Les apps de transport proposent souvent les itinéraires les plus efficaces et des horaires en temps réel. | Diminution de l'attente et optimisation des trajets. | Certaines villes ont des applications dédiées comme Citymapper ou Moovit. |
Abonnements et cartes de transport | Les cartes de transport réduisent le coût des déplacements fréquents et encouragent l'utilisation des transports en commun. | Augmentation de l'utilisation des transports publics, réduction des émissions. | Les cartes Navigo à Paris ou Oyster à Londres. |
Privilégier les heures creuses | Voyager en dehors des heures de pointe pour éviter la surpopulation et les retards. | Amélioration de la répartition des passagers et réduction de l'empreinte carbone. | Les transporteurs offrent souvent des tarifs réduits pendant les heures creuses. |
Prendre les transports publics pendant les périodes creuses, ça fait une vraie différence pour la planète. Déjà, voyager hors pointe permet de fluidifier le trafic global : résultat, les bus et trams tournent à des vitesses constantes, et ça réduit les variations de consommation d'énergie. Un bus coincé dans les embouteillages peut consommer jusqu'à 50% de carburant supplémentaire par rapport à son trajet fluide habituel. En choisissant des horaires creux, tu évites donc que les véhicules les plus remplis tournent au ralentis, moteur allumé inutilement, aux heures de pointe.
Autre point important, pendant les heures creuses, les opérateurs adaptent souvent les modèles de véhicules en circulation, privilégiant des bus plus petits ou électriques, ce qui diminue encore l'empreinte carbone par passager. Et puis, côté confort, tu gagnes aussi : moins de monde signifie une meilleure qualité de trajet, d'où une fréquentation régulière des transports en commun plutôt que le recours ponctuel à la voiture.
Un chiffre parlant : dans certaines villes comme Amsterdam, déplacer seulement 10% du trafic automobile vers du transport hors pointe a permis de réduire les émissions de CO₂ de presque 15% sur les axes principaux concernés. Pas mal comme bonus, non ?
Quand tu réfléchis à quel abonnement choisir, une bonne astuce est d'analyser ton usage réel. Par exemple, si tu télétravailles souvent ou si tu pars régulièrement en vacances, payer un abonnement annuel peut ne pas être rentable. Sur des réseaux urbains tels que ceux de Bordeaux ou Strasbourg, choisir un abonnement mensuel peut devenir avantageux dès que tu prévois environ 16 à 18 trajets aller-retour en transports publics chaque mois. Un abonnement hebdomadaire est intéressant uniquement lors de déplacements ponctuels à forte intensité, comme une semaine de formation ou des missions courtes dans une autre ville.
Si tu restes fidèle aux transports publics toute l'année, l'abonnement annuel est imbattable et représente parfois jusqu'à 20 à 25 % d'économie par rapport à douze mensuels en régions comme l'Île-de-France ou la métropole de Lyon. Certains réseaux, comme à Lille par exemple, proposent même un paiement mensualisé sans frais sur leur abonnement annuel, te permettant d'échelonner ta dépense tout en profitant immédiatement du meilleur tarif. Enfin, côté écologique, sache que de nombreuses collectivités locales françaises subventionnent spécialement les abonnements de longue durée car elles contribuent à désengorger la circulation automobile. C'est donc gagnant-gagnant : meilleur prix pour toi et moins d'impact pour la planète.
Les offres combinées transports publics-vélo ou train-tram-bus, notamment via les pass de mobilité urbaine, peuvent te faire économiser jusqu'à 35 % de ton budget annuel consacré aux déplacements comparé à l'achat séparé de tickets individuels. Par exemple, en Île-de-France, le forfait Navigo annuel couplé à Véligo Location (vélo électrique longue durée) revient à environ 40 euros par mois de moins que d'avoir chacun séparément. Un vrai bonus pour ton porte-monnaie.
Côté environnement, ces abonnements combinés encouragent clairement l'abandon de la voiture personnelle pour les trajets quotidiens. Conséquence directe : jusqu'à 60 % d'émissions de CO2 économisées chaque année, selon une étude de l'ADEME menée dans plusieurs grandes agglomérations en France. Moins de pollution, plus d'air pur pour tout le monde.
En Suisse, le "SwissPass" est un bon exemple de carte combinant train, bus, ferry, et même certaines remontées mécaniques. D'après leurs statistiques, les usagers de ces formules multi-transports émettent en moyenne 5 à 7 fois moins de gaz à effet de serre que les conducteurs réguliers de voiture individuelle pour les mêmes trajets.
Sans oublier la simplicité du quotidien : un seul pass pour tout faire. Moins de papiers, moins de stress, et des économies réelles à la clé.
Si ton trajet habituel est perturbé par une grève ou une panne imprévue, une appli comme BlaBlaCar Daily ou Karos peut vraiment te sauver la mise en te mettant rapidement en contact avec des conducteurs allant dans la même direction. Tu peux voir immédiatement quels automobilistes passent près de chez toi ou de ton lieu de travail. L’inscription est souvent gratuite, tu règles juste chaque trajet à petit prix directement dans l'appli (en moyenne autour de 2 à 4 euros pour 20-30 km). Petit bonus : certaines régions comme l’Île-de-France proposent même des aides financières pour tester ce type de covoiturage courte distance en cas de perturbations majeures des transports publics. Du concret, pas cher, et tu te fais des connaissances en bonus.
Si ton trajet habituel est en galère à cause d'une grève ou d'une perturbation, mise sur les modes doux : le vélo ou tes bonnes vieilles baskets. Avec un vélo, t'évites totalement le trafic et le stress des correspondances. Bonus : 30 minutes de vélo à allure modérée permettent de brûler environ 200 à 300 calories. Tu peux facilement repérer des itinéraires sécurisés en utilisant des applis comme Géovélo ou Komoot, qui indiquent les meilleures pistes cyclables en temps réel et t'évitent de pédaler à contresens sur une départementale.
Si tu préfères marcher, pense à checker une carte interactive comme Citymapper ou Google Maps : elles te proposent en quelques clics les trajets les plus courts ou les plus agréables pour les piétons — parcs, ruelles sympas ou zones piétonnes sur ton chemin. Poser ta voiture pour marcher seulement deux kilomètres par jour, réduit ton empreinte carbone d'environ 180 kilos de CO2 par an. Pas mal pour juste prendre l'air ! Et si tu hésites parce que tes trajets sont un peu trop longs, envisage un combo transport en commun + marche pour éviter les points de saturation, comme certaines stations de métro ou arrêts de bus saturés. Pour faire ça bien, repère quelques stations alternatives proches de chez toi pour gagner en souplesse si besoin.
Oui, plusieurs municipalités et régions proposent des subventions ou réductions pour encourager les déplacements durables en transports publics. Renseignez-vous auprès de votre mairie, votre conseil régional ou sur les sites officiels des transports locaux.
Plusieurs applications sont très fiables en France, notamment Citymapper, Moovit, ou encore l'application officielle des transports locaux comme la RATP en région parisienne. L'idéal est d'essayer plusieurs solutions et choisir celle qui correspond le mieux à vos besoins personnels.
Vérifiez le type de transport utilisé : bus électriques ou hybrides, tramways, métros et trains à faible empreinte carbone sont généralement les plus écologiques. Vous pouvez aussi consulter les sites des compagnies de transport locales ou régionales pour en savoir plus sur leur politique environnementale.
La plupart des grandes villes françaises proposent des services de vélo en libre-service connectés aux stations de transports publics. Des parkings à vélos sécurisés sont également souvent disponibles à proximité immédiate des gares, stations de métro et tramway, facilitant ainsi l'intermodalité.
Consultez les sites internet ou les applications de transport pour identifier les périodes de faible fréquentation. Généralement, les heures creuses se situent entre 9h00 et 16h00, en début d'après-midi ou après 19h00 en semaine, mais cela peut varier selon votre région.
Non, pas nécessairement. Même si certains véhicules à basse émission peuvent avoir un coût initial supérieur pour les exploitants, leurs tarifs pour les usagers restent généralement comparables, voire avantageux grâce aux politiques publiques favorables à la transition écologique.
Anticipez autant que possible en consultant régulièrement les informations sur les perturbations. Prévoyez des alternatives telles que le covoiturage occasionnel, les solutions de mobilité douce comme le vélo, la trottinette ou la marche à pied pour éviter les déconvenues.
Les tramways, métros électriques et trains régionaux alimentés par de l’énergie renouvelable possèdent généralement les empreintes carbone les plus faibles. À titre d'exemple, un trajet en métro émet en moyenne 3,3 grammes de CO2 par kilomètre contre environ 100 g/km pour une voiture individuelle thermique.
Personne n'a encore répondu à ce quizz, soyez le premier ! :-)
Question 1/5